waarin wij eenige kardinale denkbeelden — reeds meermalen in „De Stijl” ontwikkeld, — samengevat vonden. Zij betreffen de beteekenis van het getal in de nieuwe kunstuitdrukking „à travers le cubisme”.
„L’éternelle vérité de St.-Augustin „Le nombre est tout dans l’art” devait se rajeunir au contact de l’esprit moderne, je j’ai montré maintes fois, combien, en dépit de certaines oppositions, le principe de l’équivalence concordait avec les philosophies les plus poétiques et les mathématiques les plus merveilleuses ....”
„En définitive le nombre est toujours à la base de l’art et la tradition est respectée.”
In een vorig nummer van L’Art Libre” (1e Jaarg. No. 19) troffen wij in een artikel van denzelfden schrijver op blz. 216 eenige heldere opmerkingen over de 4e dimensie en hare beteekenis voor de nieuwe vormgeving aan. Maurice Raynal resumeert: L’espace ne se mesure pas plus que le temps; au continu mathématiques s’opposera un continu plastique. Etonné de certaines inventions modernes, le peuple dit très bien: il n’y a plus d’espace ni de temps. Il serait plus juste encore de dire que les deux idées de temps et de l’espace n’ont pas plus de valeurs fixes que la monnaie. Les concepts d’intensité et de multiplicité numériques suivant lesquels nous pensons la vie psychologique sont nécessairement imparfaits et insuffisants. Nous en avons la preuve dans l’art dit psychologique, qui ne devrait être qu’une partie de l’art, et notamment de la prétention à la psychologie de certaines formes de la peinture.”
ZWITSERLAND. — In het tijdschrift „Dada 2” [1] treffen wij, naar aanleiding van Pierre Reverdy’s roman „Le Voleur De Talan” eenige denkbeelden aan, die een kijk geven op hun opvattingen van de renaissance en het barok: „Depuis la Renaissance l’art fut: l’anecdote comme centre, comme principe; c’est-à-dire histoire racontée au richard pour éveiller en lui un „sentiment”; 64 % de pitié, le reste: humilité etc. + l’oubli d’un instant incommode où l’on a fait une bonnen affaire. La moitié des écrivains sait cela et en profite, l’autre moitié tente encore à chauffer l’oeuf de l’anecdote pour en faire de l’art—elle spécule sur la courte tradition de quelques siècles. Mais elle sert le même ventre, qu’elle n’a pas désiré ni prévu.
La Renaissance fut l’âge infernal du cynique; elle fut pour l’art un bordel: l’anecdote et le charme partagèrent son domaine. L’illusion devint le but, et l’homme voulait surpasser Dieu. Mais les problèmes et la vie mouvementée l’ont fait intéressante et malheureusement productive.
Nous voulons continuer la tradition de l’art nègre, égyptien, byzantin, gothique, et détruire en nous l’atavique sensibilité qui nous reste de la détéstable époque qui suivit le quatrocento”.
Over het essentieele van het kunstwerk wordt in het volgende een samenvatting gegeven: „Ce que je nomme „cosmique” est un qualité essentielle à un oeuvre d’art. Parce qu’elle implique l’ordre qui est condition nélcessaire à la vie de tout organisme. Les éléments multiples, divers et éloignés sont (plus ou moins intensément) concentrés dans l’oeuvre; l’artiste les cueille, les choisit, les range, en fait une construction ou une composition.
- ↑ Dada est l’enseigne de l’abstraction (Tr. Tzara).