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„Vers une nouvelle unité plastique” door Jacques Poisson, die hierin aanstuurt op een monumentale synthetische eenheid tusschen schilderkunst en architectuur. Wij citeeren de belangrijkste passage:

Comme toutes nos réalisations concrètes sont soumises au domaine de la forme, il faudrait que la peinture — par elle-même sans forme — puisse se cristalliser en quelque sorte sur les formes élémentaires du mental, celles-ci n’étant plus dessinées, mais réalisées par les lignes architecturales d’un monument.
Cette expression des principes et des noumènes abstraits par la ligne architecturale n’est pas une idée nouvelle: les cathédrales gothiques, comme les temples de Grèce ou d’Egypte, ont réalisé cette merveille d’exprimer de hautes idées metaphysiques par une construction de lignes (ce que les peintres ne devaient chercher qu’avec le cubisme). Or, si l’architecture cesse d’être un métier d’entrepreneurs ou de mécaniciens pour redevenir un art véritable, elle reprendra le monopole de l’expression par la ligne. Elle exprimera tout par la proportion, le nombre et le symbole des formes géométriques, selon cette parole de l’Ecclésiaste: Omnia in mensura et numero et pondere disposuisti et la peinture sera son associée ou pour mieux dire, il n’y aura plus ni peinture indépendante, ni architecture indépendante, mais un art-synthèse réunissant l’harmonie des deux.

Bij de Galérie La Cible 13. Rue Bonaparte. Paris verscheen in een bescheiden, geillustreerde uitgave de ontwikkelingsgeschiedenis van het werk van Francis Picabia, den initiator van het dadaisme. Deze ontwikkeling gaat van het impressionisme via het kubisme tot de dadaistische peinture mécanique. Zooals men weet ontwikkelde zich het dadaisme niet uit het kubisme, maar als reactie op het kubisme daartegen in.
Marie de la Hire ziet in het dadaisme echter niet meer dan Picabia’s geestelijk failliet. Op blz. 33—34 lezen wij het volgende:

Tous les artistes ont éprouvé l’absence de plaisir à produire, ils ont souvent subi l’arrêt du progrès, la disette de l’idée; ils ont vu fuir moqueusement l’inspiration et trouvé le vide devant eux. Ils ont aussi admis le changement d’ideal de vision, de réalisation et accepté loyalement de voir autre chose dans l’art qu’une formule acquise et c’est de cela qu’il faut les aimer. C’est au moment redoutable de l’âge mûr, où l’on regarde déjà, de loin, s’envoler les beaux espoirs de la jeunesse ne

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