dera moins avec l’espoir de les résoudre qu’avec la volonté de déterminer pour la première fois leur importance. Les opinions des membres du Comité organisateur (Georges AURIC, compositeur: André BRETON, directeur de „Littérature“; Robert DELAUNAY, Artiste Peintre; Fernand LEGER, Artiste Peintre; Amédée OZENFANT, directeur de L’ESPRIT NOUVEAU; Jean PAULHAN, Secrétaire Général de LA NOUVELLE REVUE FRANCAISE; Roger VITRAC, directeur d’AVENTURE) sont assez différentes pour garantir leur impartialité au sien du Congrès.
Le Comité accueillera toutes les suggestions qu’on voudra bien lui apporter en se réservant seulement le droit d’écarter celles qui lui sembleraient fantaisistes.
Pour fixer les idées, voici deux des nombreuses questions que le Congrès aura à examiner.
L’Esprit dit „moderne“ at-il toujours existe?
Entre les objets dits „modernes“ un chapeau haut de forme est-il plus ou moins moderne qu’une locomotive?
Het schijnt dat het „internationale“ van dit Congres wel wat te wenschen overliet, hetgeen de dadaïsten aanleiding gaf zich voor een protestvergadering bijeen te vinden in de „Closerie de Lilas“. De uitnoodiging tot deze vergadering ging vergezeld van onderstaanden brief, welke ons met de „Relsolutie van den leider der toonaangevende dadaïsten-beweging: Tristan Tzara werd toegezonden. Wij voldoen gaarne aan zijn verzoek deze beide documenten in „De Stijl“ te publiceeren.
A propos du Congrès de Paris.
Les artistes d’avant-garde ont reçu la lettre suivante:
Les préparatifs bureaucratiques et ridicules du Grand Congrès pour la délimitation de l’art moderne et la publicité des basses cours à capital dé laré portent déjà leurs fruits et aboutissent à des complications, où perce le véritable esprit des organisateurs: volonté d’annihiler ce qui est vivant et reaction dans tous les domaines. On en vient à reprocher à tel ou tel d’arriver de Zurich. En dehors de toute question personelle, nous pensons qu’il est temps de mettre fin à ces histoires de papes et de défendre notre liberté.
Nous désirons consulter à ce sujet et vous prions de vous trouver vendredi 17 février à O. h. 30 à la Closerie des Lilas.
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